Grosse fatigue

Signes avants-coureurs : sommeil difficile et peu réparateur, mal de dos, humeur maussade, aucune motivation au travail…
Signes coureurs tout court : crise d’hypoglycémie, envie de pleurer pour un oui et un non, perte d’appétit.
Signes que c’est pas génial : se traîner malgré tout au boulot par bonne conscience avec sa jambe en bois (cf. post précédent), pour finir par aller consulter le médecin (une fois l’an c’est déjà trop), et lui demander un certif médical pour gratter un jour de repos (pas payé mais bon tant pis).
Signes qu’il faut vraiment se calmer et vite : revenir au boulot, sans énergie, envie de vomir, estomac barbouillé et plexus douloureux. Retourner chez le médecin, avoir un traitement contre les effets secondaires dus aux anti-inflammatoires (tueraient un cheval !), demander un nouveau certificat médical pour la fin de la semaine (et re-tant pis pour le salaire :-s) et rentrer chez soi.
Conclusion : il faut vraiment écouter les conseils de ses amis (merci Mister S. et Bichette) : se dire qu’on n’est pas indispensable, que l’entêtement ça va bien qlq tps mais que ça n’est pas une fin en soi puisque sans la santé ça ne sert à rien de s’évertuer.

Voilà, le programme des prochains jours sera : dormir, me reposer, faire la sieste, prendre soin de moi, et prendre du recul par rapport aux ondes négatives pour mieux repartir.
Et regarder Joey dire des conneries dans Friends comme Kawaii :-D
Allez zou, je file me coucher.