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vendredi, 24 juillet 2015
Juillet, 24e jour
Un mal pour un bien ?
L’Homme – et par ricochet l’Asticot et moi-même – s’est pris une grosse tuile sur la gueule. Pour le moment, Damoclès s’amuse au-dessus de sa tête et même si je souhaite que l’issue de tout cela soit favorable, j’espère secrètement aussi que ça nous permettra de robondir. Loin.
Oh oui, des cartons
Plus j’y pense et plus j’ai envie de me barrer d’ici. Et je ne suis pas la seule. Le soleil c’est bien et la mer aussi, mais t’en profites pas tant que ça finalement, le vent ça saoule, et les cigales je t’en parle même pas.
J’ai envie de verdure, d’un autre cadre, d’une meilleure qualité de vie pour mon rejeton, de pas payer un rein pour me loger, de trouver de la bouffe meilleure et à un prix décent, de pas payer ma baguette de pain 20 centimes de plus « parce que c'est l'été», de moins de tensions (les gens ici sont ultra agressifs alors que bon, ça va y’a pire comme coin où vivre), et tant pis si le climat est moins sympa.
Mais bon. Ne.nous.emballons.pas, hein.
Troll or not troll ?
Une boite d’intérim m’a contacté pour me proposer une mission de 2 mois pour un poste qui n’a rien à voir avec la choucroute, et qui de toute manière, est à 100 lieues de moi aujourd’hui. Parfois mieux vaut prendre les devants, j’ai donc rv avec mon ami Pol… fin août #larapidité.
Point canicule
« Le premier jour, Dieu n’a pas fermé l’œil de la nuit, et de cette insomnie la lune encore en rit ».
L’Asticot nous fait la misère depuis plus d’un mois, la journée ça va à peu près mais de 18 à 23h il est à fond.
-- Ça me fait de bonnes journées avec toi --
C’est pas sa faute c’est lui qui souffre le plus, et encore nous avons du bol de ne pas avoir un bébé hurleur.
L’enfer, c’est les autres
Ou en l’occurrence les voisins qui, lorsqu’ils ne gueulent pas après leur plus petit – qui lui, hurle – ni ne s’engueulent, reçoivent des potes chez eux le soir jusqu’à pas d’heure. Je te jure, je vais aller vivre au milieu de nulle part, c’est pire qu’avant je supporte vraiment plus les gens.
Du bruit du bruit encore du bruit
Les cigales. De 06h30 à 22h. Tous les jours. Elles sont énormes. Ça et les moustiques tigres qui font des pool parties dans la piscine jaune dégueu des voisins je te jure, j’en peux plus.
L’été de la loose
Je déteste vraiment CET été, surtout. Trop chaud, trop de cigales, trop de tout. Pas de plage, pas de feu d’artifice, des journées trèèèèèèèèèèèès longues, fatigantes, et peu de sommeil. J’ai même dû décliner le mariage auquel j’étais conviée parce que c’est compliqué avec l’Asticot. Trop trop trop trop dég. J’ai les chevilles et les mains enflées, et pire que tout, j’ai mal dans les os. Je sais pas à quoi c’est dû ni comment ça se soigne, ça fait des mois que ça dure je n’en peux plus.
Non vraiment, il me tarde que l’été soit terminé. Ou même je prie pour qu’on se prenne un bon gros orage sur le coin de la gueule, c’est dire.
11:58 Écrit par Anouchka dans Epices et Tout ! | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : blabla de fille, vrac
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