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lundi, 24 avril 2006

Pffff

Vendredi soir on devait aller au ciné et finalement pas. Les aléas des fins de repas :-)

 

Samedi debout très tôt, j'en ai profité pour faire les courses (avec les vieux et leurs chariots à roulettes - enfer & damnation) ; je n'ai rien contre « les vieux » comme je dis, mais ça me gonfle de les voir à certains endroits et à des heures où ils devraient être ailleurs (ex.: dans le métro à 16/17h à chouiner qu'il n'y a plus de places assises). Bref, après-midi venteux souuuuus le soleiiiil, c'est incroyable le nombre de chiens qui se promènent en bord de mer.

 

Malgré les pizzas la soirée fut nettement moins calme, puisqu'il a fallu faire les psy de comptoir et vraiment, c'est la dernière fois.

Il n’est facile pour personne d’affronter la vie et les embûches qu’on peut y trouver. Mais bordel, à un moment, faut choisir son camp : soit tu fais face et tu te bats, soit tu fonctionnes. Dans un cas comme dans l’autre je respecte le choix.

Par contre, désormais je refuse les relations à sens unique, je me fous complètement de certains qui, non contents de s'apitoyer systématiquement sur leur sort, ne font rien mais RIEN pour que la situation s'améliore, essayent de te faire culpabiliser pour les problèmes existentiels qu'ils se créent *pathétique* et pour finir, viennent te reprocher de ne pas « être présente » ou de leur faire la morale quand tu prends du temps pour les écouter et éventuellement leur donner des conseils. Machiavélisme + mensonges + mauvaise fois = cocktail vomitif à souhait. Je n’ai pas de temps à perdre avec des situations comme celles-là, qui en plus me bouffent une énergie considérable. Par conséquent, j’ai pris le parti d’être hypocrite, ce qui ne me pose aucun problème de conscience vu qu’au final, je m’en fous.

 
Cette fois était un cas de force majeure, je ne pouvais pas ne pas être là. Alors je suis viendue, j’ai ouvert ma gueule, j'ai dit en partie ce que j'avais à dire, avec le sentiment que pisser dans un violon aurait été équivalent. A défaut d'en être certaine je laisse le bénéfice du doute. Au final tout cela me passe bien au-dessus.

 

21:05 Écrit par Anouchka dans Fas Cagat | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : blabla de fille, journal intime