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mercredi, 11 septembre 2013

C'est (pas encore) la rentrée

J’ai remisé les maillots de bain
Alors que Monica Bellucci et Vincent Cassel se séparent, tout comme Clint Eastwood d’avec sa femme après 17 ans de vie commune, l’été touche à sa fin. Les températures ont baissé, finies les soirées piscine / clopes / bières / barbeuq / pizzas, et Jésus est un hoax.
Après mon retour on m’a traînée voir cette daube de Red 2 Bruce qui est toujours aussi choupinou (alors que Zeta-Jones a pris sacrément cher, en plus d’avoir le teint carotte à la Pippa Middleton) ; j’ai aussi revu Hugo Cabret en VO et en compagnie d’un charmant jeune homme fort sympathique et très bien gaulé qui a postulé à Toronto – et dont j’aurais bien volontiers fait mon quatre heures.

Prolongation
A titre préventif je n’ai pas pointé le bout de mon nez à la Bouatte. Pression j’avais avant, pression j’ai toujours – de la différence entre « vacances » et « arrêt maladie » hein, bande de connards. Si je pouvais ne plus jamais y remettre les pieds je le ferai.
En attendant, faire le tri dans sa tête, se poser les bonnes questions, tenter de rebondir, trouver des manœuvres pour contourner l’obstacle, pour arriver au bout sans y laisser (plus) de plumes, et essayer de dormir. Réfléchir encore et encore, milles questions sans une once de réponse, les mêmes qu’il y a 15 ans : que faire de soi, con ?

Dans la salle d’attente
« Vous n’avez pas d’enfants vous, ça se voit ». Et Freud avait une déco de merde discutable, donc.

Tchi-tchaaaah
Cashback. C’est anglais, dramatique et drôle. Si t’as aimé Clerks, cours-y vite, sinon : vois les deux !
Maman. C’est français et contre toute attente grinçant, et ça te laissera forcément pas indifférent.
Mud. Hormis ce magnifique coucher de soleil ça aurait pu être vraiment bien s’il y avait eu de la musique – le Saint E était bien meilleur, et puis j’ai vu une étoile filante.

2 sans 3
Je ne reprendrai pas les cours de gratte cette année. Il va falloir que je trouve un palliatif d’ailleurs. J’ai trop mal au bras, je suis contrainte de me contraindre de ne pas. Je suis dégoûtée, j’avais pas besoin de ça.

Tu veux quoi
Tes allusions salaces n’ont pas eu d’effet sur moi, j’ai pas compris si tu voulais quelque chose ou pas, j’ai pas besoin de ça, j’ai pas la tête à ça. Tant pis pour toi.

Cisco
C’est ce garçon que je viens de rencontrer. Je l'aime bien : il est prévenant, intelligent, il a du savoir vivre, il se remet en question, aime aller à contre courant, tirer les gens vers le haut ; il parle fort, jure comme un charretier, il aime son boulot, se poser des questions, j’aime bien son côté nounours. J’aime passer du temps avec lui, on parle de tout, voyages et Michel Onfray, Fukushima, paternalisme et cinéma, et des moutons qui nous entourent.

Cap ou pas cap ?
Est-ce que se ressembler de part son passé, affectif, émotionnel et familial ainsi que l’éducation que l’on a reçue est néfaste ?
Mettre la barre du physique haute n'est-ce pas un frein lorsque l’on rencontre une personne du sexe opposé qui a les qualités que l’on recherche ?
Quelle part du schéma qu’on croyait être le bon et qui, au final, n’a mené à rien ces temps derniers faut-il jeter ? Après l’échec de Sirius, dois-je m’entêter ou au contraire, essayer encore autre chose ? Comme il l’a dit lui-même, c’est « inattendu et surprenant ».
Je t'interdis de te marrer toi là-bas, je sais pas quoi faire.

A l'ancienne
Poto, et Numéro 10. Il me taaaaaaaaaaaaaaaarde !!

21:58 Écrit par Anouchka dans Sous la Couette | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : blabla de fille, journal intime