« La positive attitude | Page d'accueil | Dans 155 jours »
jeudi, 18 juin 2009
Ah ! Je te jure...
La famille, j’en ai déjà parlé ici.
Du côté du Grand Chef, on dénombre 4 cousins, inconnus à mon bataillon. Du côté de la Reine Mère, elle est brouillée avec son frère depuis longtemps, surtout depuis qu’il n’a même pas daigné venir à l’enterrement de sa propre mère, qu’il a obligée soit dit en passant à réécrire son testament.
Je suis ainsi passée de la case « légatrice universelle » à « hériteuse de parts », ce qui m’a valu – entre autres crises de nerfs et de larmes – que la Reine Mère et moi nous battions pour que tout soit fait dans les règles, pour ne pas que mon ex-péripatéticienne de tante ne se retrouve avec tous les bijoux qu’elle lorgnait depuis des années (et surtout avec la bague de fiançailles de ma grand-mère), et surtout pour qu’on garde l’appart’ de Banyuls.
Fort heureusement, mon oncle et ma tante ont eu la bonne idée de ne pas avoir d’enfants, ma tante ayant un bassin « trop étroit » – sans doute à cause de son ancien travail (voir plus haut) – HUM.
En résumé pour faire simple, la « famille », ça fait longtemps que j’en suis revenue ; je suis plus proche de mon parrain et ma marraine (les meilleurs amis de mes parents), que de tous ceux-là réunis. Ainsi, j’appelle leurs enfants « mes cousins ».
Voilà pour le (très long) préambule.
L’année dernière, ma « cousine » m’a demandé comme un service de l’héberger pour deux nuits car elle passait un concours à coté de chez moi.
J’ai dit oui. On ne cotoie pas des masses, mais on apprécie de se voir (environ deux fois par an).
Elle est venue, m’a amené une plante et une bouteille de vin, on a mangé au resto tout ça, deux jours plus tard elle repartait.
Ce n’est qu’en réponse à mon mail, presque 1 mois plus tard, que j’ai su qu’elle avait loupé le concours – sinon je ne le saurai toujours pas.
Hier en fin d’aprèm, elle m’appelle et me laisse un message, pour me demander s’il serait possible que je l’héberge à nouveau, le soir même, parce qu’elle repassait son concours le lendemain.
J’ai envie de te dire : LOL.
D’ailleurs, je me suis dit « lol », et immédiatement après aussi « elle manque pas d’air ». Bon ok, qui ne tente rien n’a rien, mais quand même.
Pas un coup de fil en un an, pas un mail, quetchi, et là d’un coup j’ai un peu bien l’impression d’être le service après vente des émissions lolesques.
Et comme je peux être très gentille, très serviable, mais aussi l’inverse, j’ai attendu 22h30 tassées pour la rappeler. Par chance, je suis tombée sur le répondeur, où j’indiquais bien entendu ne pas être disponible, et avec beaucoup de mauvaise foi que « si je l’avais su avant j’aurai pu m’arranger ».
A quoi elle m’a répondu par sms que ce n’était pas grave puisqu’elle partirait le lendemain vu qu’elle ne passait qu’à 13h.
Ma cousine habite à côté de Montpellier, soit à 2 heures de route. Méga lol. (c'est moi ou elle me prend vraiment pour un pigeon ?)
09:28 Écrit par Anouchka dans Moi Je | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : blabla de fille, journal intime
Commentaires
Méga-métal LOL..
en même temps, t'es franchement pas serviable. Tu lui avais même pas fait la cuisine????
Faut pas s'étonner après.. pffff.... c'te jeunesse...
Écrit par : gingko | vendredi, 19 juin 2009
Répondre à ce commentaireMais tu lui avais payé le resto quand même non ?
parce qui sinon t'étonnes pas hein :P
Écrit par : Cracotte | vendredi, 19 juin 2009
Répondre à ce commentaire@ Gingko : et j'aurai dû la masser pt'êt' aussi pour pas qu'elle soit stressée, nan ?!?
@ Cracotte : pigeon, certes, mais pas pigeon complètement. C'est elle qui m'a invitée (encore heureux)
Écrit par : Anouchka | vendredi, 19 juin 2009
Répondre à ce commentaireLes commentaires sont fermés.