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vendredi, 26 février 2010

What's my age again ?

Cette fois, c'était la der des ders. Ici.
On a mis le feu au karaoké - et à nos gorges aussi !
J'ai profité de la soirée au maximum, je n'ai pas vu le temps passer, je n'étais même pas vraiment fatiguée.

En lui envoyant un texto une fois dans mon lit, je fredonnais : « mais tu n'es pas là, et ben c'est tant pis, si tu t'en vas », et j'ai repensé à comment les choses se sont déroulées.

Grâce à lui, et aux moments que nous avons partagés ensemble j'ai redécouvert une part de moi. Des instantanés de vie que j'ai vécus à fond, comme lui profite de chaque instant de sa vie. Vivre vite pour ne rien regretter, quelle leçon pour moi !

Quelque part, il m'a comme « redonné goût à la vie ».
Redonné ce côté frais, redonné envie de sourire juste parce qu'on prend du plaisir, juste par envie, redonné envie de rire et surtout, d'être insouciante.

L'insouciance. C'est un sentiment que je n'avais pas ressenti depuis longtemps, depuis des années en fait ; cette espèce de légèreté qui était enfouie très loin en moi, que je croyais partie, comme « morte » pour laisser place à plus de maturité a resurgit, joyeuse, pétillante, virevoltante.

« un rayon d'soleil, dort sur tes cheveux longs »

J'avais à nouveau 15 ans d'âge mental, à regarder ma cops, à faire des grimaces, à se comprendre et à pouffer de rire comme deux idiotes sans même se parler.

« tout nu dans l'escalier !!! »

J'étais à nouveau une lycéenne : on était assis côte à côte, nos genoux se touchant, ma main frôlant sa cuisse, et lui frôlant un sein... avec option tripotage parfois ce qui, je l'avoue, ne m'a pas déplu (et à lui non plus d'ailleurs :D).
Tantôt je lui faisais des chatouilles, il essayait de me mordre.

A la fin, il s'est allongé sur moi, la tête appuyée sur ma poitrine, mes bras autour de ses épaules, c'était léger, insouciant, c'était bon putain.

Puis, à la question : « t'es pas cap'? » il m'a agréablement surprise, en fait non il m'a carrément scotchée ; ma cops étant complètement foldingue je sais que elle, va jusqu'au bout de ses paris à la con. Pourtant, il s'est jeté littéralement dans la flotte à poil, elle a fini le cul dans la mer - bien obligée.
Plage du Prado fin février à 3 heures du mat'.

Et nous on regardait le spectacle en se disant : « mmh, il a un beau cul ! » « c'est des malaaaaaades !!! »

J'espère garder au fond de mon âme et dans mon cœur cette légèreté, cette insouciance que je croyais disparue longtemps encore. Je sais qu'elle est là et qu'elle ne demande qu'à sortir.

I just wanna be free in this way, just wanna be free in my world...

Commentaires

Qué calor ;-)

Écrit par : Cracotte | vendredi, 26 février 2010

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