Tiens donc

J’étais au beau milieu de ma salade poivrons / anchois au Père Louis (maison fondée en 1889) lorsque Dana m’annonça qu’elle me verrait bien avec son deuxième fils, le psychologue qui habite à San Francisco – il est fraîchement célibataire, termine son internat cette année, et il a un don pour s’attirer des copines-qui-ont-des-problèmes-d’argent-notamment.
Ah ben oui c’est sûr, tout le contraire de la petite frenchie indépendante, ouverte d’esprit et qui s’assume que je suis.

Puis, au beau milieu de ma parillade canarienne chez Emile, la Reine Mère n’a rien trouvé de mieux que de me dire, l’air de rien, qu’elle avait toujours souhaité pour moi que je rencontre un bel américain et que je l’épouse.

Mmh… Se pourrait-il que ma représentation de l’homme idéal (et américain donc) soit inconsciemment rentrée dans mon cibouleau alors même que ce fut une idée de ma mère ?!???

Peut-être trouverai-je la réponse à cette question (et plus encore) dans le Vogue U.S. du mois de Juin.