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dimanche, 28 octobre 2012

Mistral, piment, et changement d'heure

Mes journées sont surchargées et harassantes nerveusement, et mes nuits sont courtes. Très courtes. Trop courtes.

La chef de la Tige m'a dit qu'elle avait 2 mois de préavis, huhu le lapsus révélateur, on s'est compris ;) J'ai retourné les champipi les champignons, en fait je l'ai rappelé pour la forme car qu'il soit là ou pas ne change rien au fait que je n'ai pas oublié son égoïsme et ses « moi je », en fait c'est sans doute en n'en ayant rien à foutre que j'en profite(rai) le plus.

A part ça, vendredi il a flotté comme vache qui pisse, option tempête de vent, 10 cm de flotte sur le parking de la Bouatte et des vagues dès qu'une voiture passait (oui, des vagues). J'en fut quitte pour une session épongeage en rentrant chez moi, bah c'est pas comme si j'avais l'habitude hein :/ Heureusement, l'enduit de rebouchage a tenu le coup, j’ai « juste » eu à faire sécher la serpillière.
J'ai malgré tout bravé les éléments pour faire un tour dans les magasins, ai trouvé une très jolie robe, 220 euros pour du polyester heu haha non merci.
Pour finir tout ça, je me suis empalée la cuisse sur une des portes du bac à douche, j'ai failli me rétamer la gueule plus violemment donc on dira que j'ai eu de la chance, enfin à voir la couleur aubergine foncée de mon hématome sous dural un peu moins :/

Le lendemain, le mistral nous est tombé sur la gueule. J’avais des piments dans le sac à mains, j’aurai dû en manger un pour me réchauffer.
Nous avons poireauté dans le froid et le vent pendant 40 minutes (c’est trèèèèès long, surtout quand tu te les gèles) pour qu’au final, un mec de la sécurité nous annonce avec un porte-voix qui ne portait rien du tout que les concerts étaient annulés pour « raisons de sécurité ».
VILLE DE MERDE.
T’as pas idée de faire des concerts sous un chapiteau en extérieur par 130 km/h de mistral. Ben à Marseille, si. Tsé genre on craint dégun mais on craint vraiment surtout. Sans déconner. Normalement je vais pouvoir me faire rembourser les places, enfin j’aviserai.

Il a fallu trouver un plan B, du coup après avoir bien profité des sièges chauffants (cette invention merveilleuse) nous sommes partis nous réfugier au Quick, avons mangé en 4e vitesse, et nous sommes rabattus au chaud cinéma.

C’est la première fois que je voyais un James Bond au cinéma, moi qui ai grandi avec eux pourtant. Entre les premières minutes ultra haletantes, le générique chanté par Adèle, Monsieur Debbie (Daniel Craig donc ^^), les références aux vieux films de 007 (les gadgets de Q et l’Aston Martin pour ne citer qu’elles) c’était vraiment chouette ; je n’ai bien sûr pas manqué de faire de petits bonds (jeu de mot) et des « hiiiiiiiii » intérieurs chaque fois que je voyais tantôt le London Eye, Big Ben, tantôt Westminster, l’underground, Embankment station ; j’ai même chanté intérieurement « là-baaaaaas au Connemaraaaaaa » lol.

Toujours à cause de ce putain de vent, j’ai eu beaucoup de mal à m’endormir, et à dormir tout court. Le seul jour où on a une heure de sommeil en plus, haha c’te blague.
A part ça la mémoire de mon téléphone est saturée, et mercredi pour la transhumance il va flotter :/

22:43 Écrit par Anouchka dans Moi Je | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : blabla de fille, marseille

Commentaires

Suis allé voir James au ciné hier et c'était trop bien.
Moi, j'ai découvert au ciné, j'ai vu mon premier (l'Espion qui m'aimait) en 77, gamine (dans des conditions assez étranges, d'ailleurs. À l'époque, c'était le cinéma dit « permanent » comme le chante Boris Vian (ouais, la time machine est partie loin loin loin) dans "le cinématographe" (oui parce que ciné, c'est l'abréviation de cinéma qui est l'abréviation de cinématographe) et on était arrivé, avec mon grand frère – qui nous sortait – et ma petite sœur avec un grosse demi heure de retard, en pleine baston avec Requin et James (l'horrible Roger Moore) dans un train, et donc on est resté à la fin du film pour voir le début à la séance d'après) et je n'en avais plus loupé un ensuite jusqu'à ce que la série devienne définitivement inregardable avec Timothy Dalton.
Craig, aussi expressif que Poutine, ne me fait pas beaucoup d'effet mais il faut bien reconnaître que la série a pris un coup de jeune depuis Casino Royale (et fallait bien, parce que Jason Bourne avait méchammment ringardisé 007).

Sinon, je pense que tu as vu TED, mais si t'as loupé ça, il est encore temps que tu rattrapes cette erreur.

Écrit par : Comme une image | dimanche, 11 novembre 2012

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Je ne me souviens pas quel est le premier Bond que j'ai vu à la télé, peut-être Dr No... ce qui est certain c'est que Belmondo et Sean Connery étaient les deux hommes de mon enfance :)

Les deux précédents opus Craigiesques ne m'ont laissé aucun souvenir mais je trouve qu'il est plutôt à la hauteur de son personnage dans ce Bond-là.

Par contre la frenchie est parfaitement insupportable et ne sert à rien, et en plus elle marche les pieds en-dedans lol.

Je note Ted dans mes tablettes, pour l'instant j'attends les sorties de "L'odyssée de Pi" et du prochain Tarantino :)

Écrit par : Anouchka | mardi, 13 novembre 2012

Les commentaires sont fermés.