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jeudi, 18 mars 2010

Défouloir

Dans les épisodes précédents (ici, et aussi), je découvrais dans mon appart fin 2008 une magnifique infiltration d'eau, signalée à maintes reprises à renfort de courriers recommandés à mon enc*lé de propriétaire de sa race maudite. Lequel ne bougea son gros cul qu'au mois de juillet de l'année passée, constat, expertise et tout le toutim.
Las, aucun travaux n'a été entrepris, et lorsque l'hiver fut venu, le problème recommença.

Après m'avoir envoyé un plombier / électricien, 2 maçons, un essspert et deux pseudo étancheurs, il m'a laissé un message il y a environ 15 jours pour me dire qu'il me mettait un nouveau constat de dégât des eaux dans la BAL à lui remplir. Bien entendu, non seulement le document en question était vierge (ce qui signifie qu'il pouvait y inscrire ce qui lui chantait) mais le lendemain, il m'a à nouveau téléphoné pour me dire de ne pas remplir ce document. Mais bien sûr. Entre temps, j'avais contacté mon assureur, qui m'a bien entendu conseillé de ne surtout rien remplir.
J'ai donc décidé de ne plus répondre au téléphone lorsqu'il m'appelle, dans la mesure où il n'a jamais daigné répondre à mes courriers recommandés.

Lundi soir, j'avais un énième message me demandant cette fois de lui écrire un courrier lui indiquant que les infiltrations d'eau continuent toujours, afin qu'il contacte son assurance pour une démarche de recherche de fuites [INSERER LE HAUSSEMENT DE SOURCILS ICI].

J'étais complètement abasourdie.

Et là j'ai dégainé le portable pour lui laisser un message bien senti à ce gros enc*lé :
« Monsieur Proprio (...) je vous informe que le dossier est désormais traité directement par mon assureur.
Je suis stupéfaite que vous me demandiez un courrier pour effectuer une recherche de fuites, ce qui signifie clairement - mais je m'en doutais - qu'aucune recherche de fuite n'a jamais été faite auparavant, et ce depuis que je vous ai signalé ce problème d'infiltration en décembre 2008, et malgré mes courriers RAR, malgré un constat tardif de dégât des eaux, malgré l'expertise qui a suivi, et malgré un 4e courrier RAR en septembre 2009 qui n'a lui non plus reçu aucune réponse écrite de votre part - et j'insiste sur la réponse écrite.
Ainsi, je réitère, aujourd'hui ce dossier est géré directement par mon assureur la (...), n'hésitez pas à le contacter au (...) ».

Et ce matin, bien entendu, il m'a laissé un message où [INSERER LA GRANDE LOLADE ICI] il s'indignait de la teneur de mes propos à son encontre et qui disait en substance qu'il ne comprenait pas, que certes il n'avait jamais répondu à mes courriers mais qu'il avait toujours pris la peine de me téléphoner, qu'il se démenait (sic), qu'il se battait avec les assurances (re-sic) pour régler ce problème patati patata et qu'il ne méritait pas que je lui parle de la sorte.

Déjà d'une le mérite n'a rien à voir là-dedans, et de deux, tu veux pleurnicher que je suis injuste ? Méchante même ? Vas-y CONNARD, pleurniche.
Tu n'es qu'un gros enc*lé qui ne fait rien qu'engranger de la thune, notamment la mienne, j'ai pas voulu aller en procédure judiciaire parce que c'est long / coûteux / chiant, à présent tu iras voir ailleurs si j'y suis. Et tu vas te brosser Martine pour pouvoir me joindre puisque j'ai bloqué ton numéro.

Faire foutre va te.

16:16 Écrit par Anouchka dans Fas Cagat | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : blabla de fille, marseille, journal intime