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mardi, 30 janvier 2007
Le post foutage de gueule
Comme je le craignais, en plus de tout le boulot que j’ai à faire (et pas le temps de) j’ai récupéré l’organisation du déménagement ; justement j’me disais que comme je me refuse à faire des heures supp’ (puisque pas payées) et que j’attends toujours mon augmentation j’allais bosser le week-end. Ben voyons.
Le summum de la journée étant que non seulement la Bouatte a lamentablement « oublié » de mettre nos salaires en paiement [mois complexe (…) mises à jour (…) barèmes modifiés (…) – tout ça] mais elle a semble-t-il aussi « omis » de régler sa facture de téléphone, ce qui fait que l’on peut même pas appeler pour se plaindre lol.
Bref, demain c’est mercredi, jour des enfants, des raviolis et des sorties de films, et dernier jour à me faire enfumer *jouit* Tss... au lieu de râler nous devrions nous concentrer sur les vrais problèmes.
Sur ces bonnes paroles, 45 minutes à faire l’accordéon sur la route m’ont lessivée, aussi je m’en vais fusionner avec le canapé.
21:35 Écrit par Anouchka dans Moi Je | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : blabla de fille, journal intime, taff
dimanche, 28 janvier 2007
Je crois que ça va pas être possible...
Samedi, par un beau matin hivernal ensoleillé, me voilà partie pour mon Super Rendez-Vous. J’aperçois une voiture garée non loin de là dont la vitre passager est cassée, et je me dit « hum, j’espère que ma caisse n’a rien ». J'adore ma Titine, j'y fais attention, et je suis matérialiste oui j'avoue.
Je monte, j’inspecte rapidement tout à l’air normal, je démarre… et quelques kilomètres plus loin j’ai comme la sensation qu’il y a une vitre ou une portière mal fermée car je sens de l’air…
Je me gare. Je descends. Je regarde, hébétée. Ah ben oui tu m’étonnes que j’avais comme une sensation de froid, et pas qu’un peu en plus ! Ma réaction face à ce genre d’événements est en général la même : « putain de merde ». Les nerfs montent, et je me retrouve plongée dans un profond désarroi. J’appelle illico presto Grand Chef pour les premiers conseils avisés et pour que la pression retombe. Tentative de vol, oui c’est bien cela. Comme si y’avait un truc à voler dans ma voiture… j’ai un poste à CASSETTES, des cartes, des kleenex, des ampoules, un briquet, un stylo…
Bref, 1 € de parcmètre et ¾ d’heure d’attente plus loin me voilà dans un bureau sombre crasseux et enfumé du commissariat pour mon dépôt de plainte et la prise des empreintes ... de gants... lol :-s
Après avoir bricolé un calfeutrement de fortune, SuperNanie et un film anglais de zombies auront heureusement raison de mon écœurement. Oui je sais que cela arrive tous les jours, à plein de gens, partout. Mais bordel je ne trouve pas les mots. Aussi quand certains français voteront Le Pen faudra pas venir chialer.
Alors demain viendra le grand moment d'appeler l'assurance, puis ce sera le constat de l’expert... puis le nouveau grand moment du passage chez le garagiste – qui devra commander les pièces, ce qui prendra un certain temps... – puis ce sera l'intervention dans un certain délai – ce qui me vaudra d'avoir un véhicule de remplacement et de faire au moins 3 à 4 cacas nerveux avant, pendant, et après puisque les choses iront forcément lentement, et pas dans mon sens.
Pays de merde.
20:05 Écrit par Anouchka dans Fas Cagat | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : blabla de fille, voiture
vendredi, 26 janvier 2007
Soif d'alternative
N’avez-vous jamais remarqué comment la vie des autres paraît plus lisse, sans accrocs ? N’avez-vous jamais envié la vie de vos collègues, amis, voisins ?
Pourtant les choses ne sont pas ce qu’elles semblent être. Nous nous observons, nous nous jugeons, nous nous montrons d’une certaine manière, nous nous cachons tous autant que nous sommes.
Little Children raconte des destins croisés et des rôles endossés, ce qu’il y a derrière les apparences et les vies bien rangées. Ce film ne laisse pas indifférent. Il n’est pas radical, il chuchote le changement, « the hunger of an alternative ».
L’alternative, le choix, l’option, l’élément déclencheur du changement.
Dans mon cas c’étaient de petits arrangements avec la vérité. J’ai rêvé ma vie, je me suis inventé une vie, meilleure, plus simple, plus intense. Pour me rassurer, pour qu’on me foute la paix. Mais j’ai toujours affronté la réalité.
Aujourd’hui je refuse une vie terne, aseptisée, monotone, monochrome, parce qu’il y a une alternative.
« You can't change history, but the future is a different story. You have to start somewhere ».
00:53 Écrit par Anouchka dans Tchi Tchah | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : blabla de fille, médias, triturage de cerveau