Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« Sans titre | Page d'accueil | Non mais là ça va pas le faire »

lundi, 20 août 2007

On prend les mêmes et on r'commence !

C’était il y a 8 ans maintenant. Coup de cœur estival de quelques jours et une soirée mémorable sur le bateau du grand-père… un sacré zozo pour lequel j’ eûs une affection immédiate et sans bornes, et vice versa d’ailleurs.
Nous étions déjà différents de « la masse », traçant notre route en faisant fi de ce que les autres pensent, et en tirant même une certaine fierté.

C’était il y a 7 ans maintenant. Tu m’as présenté ton groupe de potes d’été, parmi lesquels Fifi et Bichette qui deviendront avec toi parmi mes meilleurs amis ; nous avons ainsi partagé quelques uns de nos étés.
Des étés à rien foutre si ce n’est bronzer, mâter, draguer, jouer au volley. On se retrouvait après les repas de famille qui s’éternisent, on ne voyait pas le temps passer… les soirs de bal ou de sardanes sur la place on se rejoignait à la mairie – bien sûr généralement j’étais parmi les premiers – avant d’aller balader sur le port, boire un coup ou danser à l’Indigo. Auquel cas on finissait là au petit matin, une chocolatine dans la main à regarder le lever du soleil. Et attraper des peluches au Pince-mi Pince-moi. Et prendre le train pour la féria.

Aujourd’hui, les rituels restent les mêmes : la « petite plage » en famille le matin, la « grande plage » entre potes l’après-midi. On tourne on vire sur nos serviettes, « on va se baigner ? », « on va jusqu’au ponton ? ». On se regarde, on s’épie. On se raconte nos vies.
On fait toujours la queue devant le vendeur de churros, 2 € le cornet frais au sucre ou au nutella. La rue Mayol est toujours aussi difficile à monter à pieds. Nous allons toujours au Corsaire boire un verre ou à la Ganotte acheter un américain qu’on va manger sur la jetée en regardant les étoiles.

Ceux qui étaient déjà dans le moule y collent encore plus. Nous, nous sommes toujours un peu « à part ». Et nous sommes toujours aussi soudés. Après tout, nous sommes des amis d’enfance à présent.

Les commentaires sont fermés.