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lundi, 29 juillet 2013
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Je suis rital et je le reste
Je suis guérie-je suis guérie-je suis guérie- de lui. Dites-moi que oui. Je SAVAIS où je mettais les pieds, je SAVAIS à quoi m'attendre, je SAVAIS que SAUF ACCIDENT rien dans un futur proche ou lointain ne changerait.
« Rien n'est figé » m'a dit Poto, et c'est vrai. J'sais pas pourtant, au fond de moi, j'y ai sans doute un peu (trop) cru.
Epiphanie
On croit être fort et on l'est, souvent, mais on est aussi incroyablement fragile. Je suis incroyablement fragile. Je ne sais pas me protéger, je ne sais pas faire, je n'ai jamais su, c'est contre-nature. Je pense que mes propos ont été pris à la hauteur de leur valeur, oui.
Bien sûr que tout cela au fond n'était qu'un piètre appel au secours, une tentative de réparer l'irréparable, le désespoir dans toute sa splendeur.
Et ce sale arrière-goût d'inachevé. Etre si embuée que toute notre vision est faussée. Pute borgne.
Mais je ne peux pas tout le temps garder mes lunettes de soleil sur le nez même si c’est swag, même si c’est de nuit, pour ne pas que l'on voit mes yeux rougis.
Batwoman
J'ai fait cuisson sous les transats, à l'ombre qui ouiiiiii, il est vraiiiiii, laisse passer les UV dixit le Biscotte rabat-joie ;) Et j'ai pris un coup de soleil en forme de chauve-souris.
Métaphore par l'image
Elle a écrasé mes soucis dans un chapeau en coton et polyester, j'ai cessé de penser, je me suis allongée sous le parasol, j'ai regardé mon pied droit doucement chauffer au soleil, j'aurais voulu que ce moment continue encore longtemps. Vivement les vacances.
Biiiiip
Ces trucs quand ça tombe en rade, c'est toujours au moment où tu passes le péage. Et non cette fois, je ne l'ai pas mis sous mes fesses ^^
Les gens IRL
Non, la vitelotte ne donne pas la langue violette. Comme je traîne avec beaucoup (trop) d’informaticiens, j’ai postulé pour une SSII. Poto lui aussi fait de l'hypoglycémie. Et un régime diététique huhuhu #laule.
A m'ment donné
Je ne sais pas si manger de la citronnelle ferait que je me fasse moins bouffer par les moustiques. En cas faudrait peut-être que j'achète du peuchite peuchite. En cas.
Rien à ajouter
« J’ai l'impression que la cigale, elle est sous mon cul » (oui y’a aussi des cigales dans les Landes) « et c'est là qu'arrive la bite » la biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite !!!
Zéro km
Elle l’a traîné dans les quartchiers, personne ne le lui a chourré. Elle est tombée en rade devant chez moi. Personne n’en a voulu non plus !
Imbeulibeubeule
Et c’est juste au moment où je pensais à lui qu’il me fit un coucou. Prof. Connexion totale. Et gros, GROS smile instantané :D
Avoir des ami(e)s en or
C'est la cerise sur le gatal ; c'est ceux qui débarquent chez toi de bon matin alors que t'es sous ta douche, c'est ceux qui t'invitent au resto parce que « c'est normal» , c'est ceux qui pensent à toi en faisant changer leurs pneus lol, c'est ceux qui t'envoient un p'tit message parce qu'ils pensent à toi.
Et ça, malgré la fatigue et le reste, ça met du baume au coeur, ça fait avancer, ça donne du courage et c'est drôlement chouette <3<3
Soon
J’ai commencé à faire une très longue wishlist pour mon anniv, au cas où des gens bien intentionnés voudraient s’en servir prochainement. Et je n’ai même pas mis des Louboutin.
Oui et non au carré
Non aux dérèglements hormonaux suite à « grosse contrariété », non aux orages de 5h30 du mat' un lundi o_o, oui aux pizzas parties / bière / glace et aux franches rigolades, oui aux cheveux magiques, définitivement oui.
22:29 Écrit par Anouchka dans ... | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : blabla de fille, vrac
dimanche, 21 juillet 2013
I should have known better
L'amour ne se commande pas, le reste non plus.
Il n'y a rien à perdre à essayer. Hormis les quelques maigres espoirs qu'il (me) restait, et un peu de fierté.
Ça va passer. Oui, ça va passer. En attendant : se mettre en boule. Et pleurer.
23:15 Écrit par Anouchka dans In my Mind | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : blabla de fille, love etc
samedi, 20 juillet 2013
De la pollution
La pollution, partout, tout le temps. Dans l’eau, dans l’air qu’on respire mais surtout, là où on ne s’y attend pas : au travail. Remplace le mot « pollution » par le mot « con » et ça marche aussi. La pollution se répand, partout, le con c’est pareil.
Et à la Bouatte je suis polluée, en permanence. 7 heures par jour, 5 jours par semaine. Ça fait beaucoup. En période estivale tu croirais que la pollution est moindre, que nenni ! Moins les gens bossent, plus ils sont tendus !! C’est bizarrement à ce moment-là qu’ils veulent entreprendre de grandes choses – c'est-à-dire faire du ménach ; mais entre ceux qui sont fatchigués (ou avec un gros poil dans la main hein), ceux qui sont « trop charrette » et qui reportent ça en Août… oh bah oui Août c’est bien, en Août mon bras en mousse et moi-même serons de l’autre côté de l’Atlantique vous ferez ce que vous voudrez avec vos boîtes d’archives et vos classeurs – comme vous les mettre au cul ou faire l’avion avec :D
Alors quand un vendredi matin à 09h10 on vient te « recadrer » parce que tu arrives en retard heu comment te dire… je plaide coupable, oui j’arrive en retard, tous les jours ou presque. Et j’en ai vraiment plus rien à foutre.
En même temps c’est super, « ON » a découvert ça alors que ça fait deux mois que ça dure lol. Le tout avec un discours toujours super bien ficelé : « ON m’a fait remarquer que » blablabla - et quand tu demandes qui est « ON », tss tss peu importe !! T’es en tort et en plus tu cherches à comprendre qui a intérêt à te mettre des bâtons dans les roues ? Rien de plus simple : mets-toi donc bien à l’abri derrière on ne sait qui (tu notes le jeu de mots), le fouteur de merde en question ayant les couilles à l’envers depuis 10 jours et cherchant par tous les moyens une brèche dans laquelle s’engouffrer pour me faire chier. Et n’ayant surtout pas les couilles de me dire les choses en face surtout. C’est peut-être de là qu’est originaire le mot con-stipé remarque ?
Tu sais nous les filles, quand on est petites, on a besoin qu’une copine nous tienne la porte des toilettes. Je ne sais pas pourquoi, mais c’est comme ça. A la Bouatte, j’ai Tic et Tac. Quand Tic sort fumer, il y va avec Tac. Et inversement. Ils viennent se chercher l’un l’autre, tu verrais le manège c’est pathétique. Mais pas autant que mon collègue qui s’est *roulement de tambour* remis à fumer pour accompagner Tic et Tac. Oui oui, tu as bien lu. Si tu clopes pas et que t’as besoin de discuter d’un dossier, tu devras accompagner Tic ou Tac ou les deux quand eux vont cloper. Et si tu veux te faire bien voir tu calqueras ton manque de personnalité sur un des deux ci-dessus cité : le melon tu prendras, tout sur tout tu sauras, réponse à tout tu auras, calife à la place du calife devenir tu voudras, rien d’autre que ton avis tu n’écouteras (exception faite de ceux sur qui tu te calqueras). Et par « non mais » toutes tes phrases tu débuteras. Comme dirait le Projectionniste : bande de fils de pute.
Ce n’est pas une nouveauté que je veux me barrer de la Bouatte, ça fait des années que j’en parle, des années que ça dure. Et pourtant je suis toujours là. La faute à moi, la faute à l’inexistence d’emplois pour moi, ici ou à là-bas. La faute à pas d’chance sans doute aussi.
Mais là franchement, se faire presser comme un citron alors qu’on taffe, et qu’on taffe très bien, et qu’on ne te laisse rien passer franchement c’est abusé. J’ai jamais prétendu être irréprochable, mais dans mon boulot très honnêtement, je le suis à 95%.
Tu comprends je vois bien venir le manège : j’ai demandé à ce que mon statut soit réévalué, et le salaire aussi par conséquent. « Mouiiiiiiiiiii mais tu comprennnds … » blablabla stérile, et là ni une ni deux c’est l’occasion rêvée pour qu’on me réponde par la négative. Trop facile.
Alors tu sais quoi ? J’ai illico regardé les petites annonces, bim j’en ai trouvé une sympa, bam dans la foulée j’ai postulé, je vais postuler partout pour tout, et je vais tenter d’obtenir un bel arrêt de 1 mois à compter de mon retour de congés, pile quand l’activité est énooooooooooooorme, pile quand toute cette belle bande d’enculeurs de mouches va me tomber dessus à bras raccourcis avec un monceau de travail, pile pour mon anniv surtout.
Comme une bonne journée de merde n’arrive jamais seule, je n’ai pas pu me faire rembourser les chaussures qui me scient les pieds, et je dois me traîner à La Poste chercher un recommandé (= une autre idée de la mort).
Je suis toujours à la recherche du graal d’un appart, et comme ils se louent en deux jours autant te dire que c’est pas facile facile. Pour le premier le proprio m’a prévenue de « faire attention au chien », un magnifique bouledogue français blanc assorti à mon slim qui devait crever de chaud enfermé là. Ça m’a fait trop de peine ; ça et le fait que l’appart soit adossé à une restanque, qu’il faille traverser la caillasse du parking pour y accéder, et qu’il y ait un chantier en face huhu. Quant au second, je ne l’ai même pas vu, puisqu’il a été loué avant même que mon rendez-vous soit honoré :/
Quoi qu’il en soit, je vais revoir l’appart qui est pas mal mais peut mieux faire, pour en être certaine, plus que 2 séances de kiné, plus que 10 dodos « ouvrés » avant que tous ces connards de merde se barrent.
Heureusement, il nous reste les ami(e)s ; et de la bière, et de la glace au chocolat, et des Menthol. Demain session rôtisserie, j’espère prendre un coup de soleil (ailleurs que sur le nez hein) j’ai jamais été aussi blanche un mois de juillet.
Tout fout le camp.
00:13 Écrit par Anouchka dans Fas Cagat | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : blabla de fille, taff